2 mars 2012
Boomerang médiatique
Le candidat perpétuel "découvre" que les médias sont noyautés par la gauche. À tel point que même un syndicat de journalistes s'inquiète de la perte de crédibilité entraînée par les prises de position publiques d'un directeur de radio publique (le très gauchisant Olivier Poivre d'Arvor, directeur de France culture) en faveur d'un des candidats à la présidentielle.
La bête qu'avait cru bon de caresser dans le sens du poil l'omnicompétent de 2007 lui mord aujourd'hui la main. Voilà ce qu'il en coûte de trahir son camp et ses électeurs.
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