10 avril 2013
Bad(France)inter
Les auditeurs (enfin ce qu'il en reste) de France musique auront eu à subir dans le cadre de la semaine "justice/injustice" le grand Robert Badinter, invité en tant que librettiste d'un opéra de Thierry Escaich dénonçant la violence carcérale. Le bonhomme est apparu plus que jamais obnubilé par la traque des injustices, mais uniquement celles touchant les condamnés: pas une parole, pas un mot au sujet des victimes de ces derniers. RIEN ! Le comble du ridicule furent les glapissements admiratifs de la précieuse du même nom officiant aux manettes de la console.
C'est à ce genre de prestation qu'on mesure la dérive du service publique de radio télévision financé par nos impôts ...
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