Un réfugié, ça ferme sa gueule ou ça repart !
Reçu d'un lecteur la diatribe suivante:
Les "réfugiés" auraient des droits chez nous ? Quels droits ? Nous avons la solidarité de les accueillir car ils sont parait il en danger chez eux, ce qui reste à prouver pour bon nombre d'entre eux.
Alors qu'ils nous en soient redevables, qu'ils se conforment à nos lois et à nos moeurs, et surtout qu'ils la ferment ! Sinon c'est retour systématique à l'envoyeur.
Et pour les petits malins qui auraient soigneusement effacé toute trace d'origine, les fameux "sans papiers", c'est largage dans les eaux internationales où l'ONU se chargera de leur trouver un nouveau point de chute humanitaire.
Quant aux français de "papiers" acquis souvent grâce la générosité électorale intéressée d'une gauche de trahison voire d'une droite de collaboration, même chose. Un papier, ça peut aussi bien se donner que se retirer.
Et qu'on se le dise, je n'ai rien à faire du droit international dans ces cas là.
Marre d'être une carpette.
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