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4 août 2020

PMA pour toutes, les gosses à la décharge !

Une employée d'un centre d'IVG démissionne après avoir été témoin ...C'est la dernière tendance des dégénérés que vous avez élus !


 Dans la nuit du vendredi 31 août au samedi 1er août, les députés ont adopté en seconde lecture le projet de loi bioéthique, légalisant notamment la PMA pour toutes. Mais l’association pro-vie Alliance Vita s’est insurgée d’un amendement adopté, selon eux, « à la sauvette en pleine nuit à la fin de l’examen du projet de loi bioéthique ». Cet amendement, porté par plusieurs élus socialistes dont le secrétaire général du PS Olivier Faure, autorise en effet l’interruption médicale de grossesse (IMG), permis pendant neuf mois, pour cause de « détresse psychosociale », un « critère invérifiable » pour Alliance Vita. 

>> la suite


Comme prévu donc, les satanistes déroulent leur plan diabolique: après le "mariage pour touzes", la PMA pour les gouines. Et cerises sur le gâteau, le "droit" à avorter juqu'à la veille de l'accouchement ! A propos, on "avorte" comment d'un "foetus" de 9 mois ? Au hachoir ?  A la tronçonneuse ? ... 

Sur le plan "sociétal" on lira avec interet cette tribune. Extraits:


 Depuis une cinquantaine d’années, la société française est rentrée dans une logique de contrôle total de la vie de la naissance à la mort.  Avec la PMA et la récente loi sur l’avortement, cette logique est en train de réaliser son but. Lorsque pour avoir un enfant deux femmes ont recours à la PMA que se passe-t-il ? En éliminant le père et derrière lui l’homme vivant et réel pour faire un enfant, la science prend la place du père et de l’homme et devient ainsi toute puissante puisque désormais c’est elle qui rend l’enfant possible.  Par ailleurs, quand pour éviter la détresse d’une femme on autorise l’avortement que se passe-t-il ? En éliminant l’enfant sous prétexte de détresse médicale et sociale, non seulement elle prend la place de l’homme mais elle prend celle de la vie puisque désormais c’est elle qui décide du droit de vivre ou pas. Hier, c’était la vie qui décidait de la vie et de la mort. Désormais, c’est la science et avec elle le médicalement et le socialement correct. On connaissait le Big Brother utopique de Georges Orwell dans 1984. Aujourd’hui, avec le Big Brother médical qui s’est mis en place l’utopie totalitaire imaginée par Orwell est devenue notre réalité. 


Mais aussi cet éclairage sur l'enfant roi au pouvoir 


Les leaders éphémères. Ou effémères. 1/2. Le couple Brigitte ...Emmanuel Macron qui est un redoutable politique cache son jeu. Il y a des moments cependant où il se dévoile. Cela se fait à l’occasion de petites phrases très brèves. Ces dernières années, il a lâché deux phrases qui nous éclairent quant à sa vision sociétale. La première dit : « Je veux que l’on puisse vivre dans un monde où on croit ce que l’on veut ». La seconde dit : « Je veux que l’on puisse vivre dans un monde où on  aime qui on veut ».

A priori, rien de répréhensible dans ces phrases. Pouvoir croire ce que l’on veut et aimer qui on veut !  Comment être contre ?  Écoutons toutefois ce qu’il y a derrière ces phrases. 

Quand Emmanuel entend défendre un monde de liberté, il entend par là permettre à tout d’exister, la foi comme le blasphème.  Posons que, du point de vue de la liberté, tout est équivalent. On n’est plus dans la pensée. On est dans le nihilisme. 

Tout n’est pas équivalent. Se moquer du monde et avoir des principes ne sont pas équivalents. Il y a des choses qui valent mieux que d’autres. Avoir des principes vaut mieux que se moquer du monde. Cette distinction  nous protège. Quand, au nom de la liberté, tout devient équivalent, on n’est plus protégé. En se voulant ultra-libéral, Emmanuel Macron ne se protège pas. Il ne nous protège pas. Il ne protège pas la France.

Même chose en ce qui concerne l’amour.  L’amour est certainement une affaire de liberté. C’est cependant aussi une affaire de pensée, de jugement, de valeur et de principe. On aime parce que l’on n’aime pas n’importe comment, n’importe quoi et n’importe qui. On aime parce que, quand on aime, on pense à l’enfant qui va naître  au lieu de simplement penser à soi et à son confort. On pense également au monde, aux êtres humains, à la vie. Avec l’amour pensé uniquement comme liberté abstraite, Emmanuel Macron ne se protège pas. Il ne nous protège pas. Il ne protège pas la France. 

On s’interroge sur la vision sociétale d’Emmanuel Macron. Qu’il s’agisse de la pensée comme de l’amour, dans les deux cas sa pensée est simpliste, non aboutie et non réfléchie. Avec sa défense de la liberté totale de penser et d’aimer, sa vision sociétale est celle d’un adolescent parlant à un monde d’adolescents et non celle d’un adulte en charge d’un monde d’adultes. 

 

 

 

 

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