Un attentat qui tombe à pic
«Ignoble», «indigne», «écœurant». Des ministres ont vivement condamné mercredi les thèses complotistes diffusées dans la nuit sur les réseaux sociaux, après l’attaque perpétrée mardi soir à Strasbourg.» «Ne nous laissons pas impressionner par cet attentat monté de toutes pièces par les services secrets», «Vous ne trouvez pas étrange cet attentat alors que le gouvernement est menacé?», ont par exemple écrit des «gilets jaunes» sur la page Facebook «Blocage National le 17 novembre Organisation générale». Persuadés que l’attaque a été fomentée par le pouvoir pour éteindre le mouvement.
Il n'empêche que cet attentat tombe à point nommé: il permet au gouvernement d'instaurer l'urgence attentat et de suspendre (temporairement ?) ce qu'il reste de libertés de manifester dans ce pays. Bien utile pour faire taire les gueux en cette période quasi pré-insurrectionnelle
Et bien sûr le profil de l'assaillant est un classique du genre:
- issu de la diversité
- multirécidiviste
- radicalisé en prison
Bref, une chance ... pour le mondialisme qui organise lui même ce bordel !
.@LaurentNunez, secrétaire d'État auprès du ministre de l'Intérieur : "La motivation terroriste n'est pas encore établie" #le79inter #Strasbourg pic.twitter.com/9byxJ0ZZr1
— France Inter (@franceinter) 12 décembre 2018