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5 mars 2020

Quand des républicains se débarrassent de leurs oripeaux "sociétaux", ça déménage ...

... et ça donne ça (attention propos à  forte teneur nauséabonde garantie) :


Résultat de recherche d'images pour "miradors"Je ne comprends pas pourquoi depuis la trahison allemande de l’inconsciente Merkel – qui dit finalement qu’elle n’a pas cherché à provoquer une recrudescence du nazisme ? – de 2015, l’Europe n’a pas protégé ses frontières avec des rouleaux de fil de fer barbelés… électrifiés ! Aux frontières gréco-turque et turco-bulgare. Il aurait suffi de consulter nos très chers amis allemands, ces ingénieurs magnifiquement versés en la matière depuis Dachau, Auschwitz, et depuis le Rideau de fer. Alors pourquoi cela n’a pas été fait ? Parce que cela rappellerait trop les temps inhumains du nazisme et du bolchevisme ? Et donc, parce que ce n’est pas beau, que cela manque de panache, ce panache propre à la brillante civilisation qui caractérise l’Europe… à la démocratie – Ah ! elle a bon dos, la démocratie ! – ? Ou encore parce que cela aurait coûté trop cher ? Ou tout simplement et sans doute parce qu’il n’y a plus sur ce continent de dirigeants à en avoir dans le pantalon ? D’autres encore, pris d’intentions christiques, répondront parce qu’on ne peut pas laisser mourir son prochain ! Le problème, c’est que nous sommes arrivés depuis pas mal de temps désormais où sauver son prochain revient à se tuer soi-même.

Européens, nom de Dieu ! Dépouillez-vous d’abord de tous vos complexes d’infériorité, de votre pusillanimité. Soyez enfin ! des hommes ! Électrifiez les frontières, mettez des mitrailleuses en batterie et tirez à vue après la première sommation si en face personne n’obtempère. Et soyez assurés que le premier migrant qui osera s’approcher trop près n’aura pas le temps de le regretter. Et face à ce spectacle, croyez-moi, les autres n’auront pas l’envie de s’y frotter et de finir comme des torches. Et vous verrez ensuite que ce salaud d’Erdogan sera coincé avec ses ultimatums et ses pressions malhonnêtes. Et peut-être, mais là j’en doute, les migrants se diront qu’au lieu de foutre le camp de chez eux comme des bêtes affolées, le mieux serait de faire l’effort de se comprendre pour construire un vrai pays de paix. Car c’est cela qu’il manque à ces gens, un cerveau. Il est vrai que ce n’est pas le coranovirus qui va les aider en la matière. Pour gueuler « Allahu akbar » aux frontières et balancer des cocktails Molotov sur les flics grecs, cela ne demande pas trop de faire tourner ses neurones. Bien sûr, allez-vous me dire, qu’il est urgent parallèlement de procéder à des injections à grosses doses de neurones dans la tête de nos dirigeants. C’est une lapalissade. En attendant…


 

Pour le moment simple injection de neurones ... mais demain ? Du plomb fondu ? Faut dire qu'à force de prendre les citoyens pour des cons ...


 

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Commentaires
A
Il suffit en effet de stopper la pompe aspirante pour tarir l'invasion. Et que ceux qui s'émeuvent du sort des soi-disant réfugiés, sachent qu'en étant très ferme avec une centaine d'entre eux on en sauvera cent mille autres ! Il faut tout de même faire un peu fonctionner son cerveaux et ne pas suivre aveuglement son coeur ! D'ailleurs, on peut tout de même se demander pourquoi tant de "réfugiés" choisissent l'Europe, et la France en particulier, pour y demander asile... Faut-il être con pour ne pas comprendre ça !
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