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5 mai 2020

Sida versus Covid , LBGT versus tout venant ...

En 1987, lors du développement du SIDA, notamment dans les milieux homosexuels parisiens, Jean-Marie Le Pen, le président du Front national, avait fait scandale en disant qu’un « sidaïque » était contagieux, qu’il convenait de voir « comme un lépreux » et de le placer dans un centre spécialisé (« Sidatorium »). À l’époque, il était encore impensable qu’on propose pareille incongruité. Le fichage des malades ? Mon dieu, quelle horreur ! Moins de quarante ans plus tard, changement de décor: les blouses blanches elles mêmes sont mises à contribution pour traquer débusquer et dénoncer les infâmes Covidaïques ! Faut dire que le VIH ciblait une population intouchable dont les pratiques sexuelles étaient à haut risque, mais trés en vogue en ces années ou "jouir sans entraves" était devenu le mot d'ordre quasi officiel. Rien de tel avec les "Covidés malgré eux" victimes d'une partouze echangiste planétaire qu'on leur a imposée ! Et qui vont adorer la nouvelle plate forme de niveau 2 (sic) de l'Assurance Maladie ...


 « contact Covid » un téléservice élaboré par l'Assurance Maladie et accessible  aux professionnes de santé

 Comme vous le savez, le Gouvernement a présenté cette semaine les mesures d'accompagnement de la stratégie de déconfinement progressif à compter du 11 mai prochain.

Cette stratégie s'appuie sur une clé de voute pour casser les chaînes de contamination : la nécessité d'identifier et de mettre à l'isolement les personnes potentiellement malades et contagieuses, mais aussi recenser pour chacune l'ensemble des personnes avec qui elles ont été en contact rapproché, au cours des jours précédant l'apparition des symptômes, afin qu'elles soient immédiatement invitées à se faire tester et qu'elles observent une période d'isolement à leur domicile.

La bonne mise en place de ces mesures constitue un enjeu majeur pour limiter les risques de propagation de l'épidémie et éviter le retour à des mesures de confinement appliquées à toute la population.

Les médecins de ville, et particulièrement les médecins généralistes, constitueront le premier maillon de cette organisation. Vous aurez évidemment la responsabilité, comme c'est déjà le cas, de prendre en charge vos patients atteints du COVID-19, de leur faire réaliser un test et d'assurer leur suivi tout au long de leur maladie. Mais vous serez aussi invité à vous engager fortement dans la recherche de leurs contacts afin d'aider à leur identification.

Bref du Lepen sans le dire, et en pire ! Mais bien sûr avec l'emballage humanitaire et surtout l'usine à gaz chers à nos technos :

Deux catégories de cas contacts rapprochés peuvent être distinguées :
  • les personnes résidant au même domicile que le patient : le médecin devra systématiquement recueillir les informations les concernant (nom, prénom, NIR, date de naissance, adresse, coordonnées téléphoniques et adresse mail) ;
  • les personnes (hors cellule du domicile du patient) ayant eu un contact avec le patient dans les 48 heures précédant l'apparition des premiers symptômes dans les conditions suivantes : échanges d'une durée d'au moins 15 minutes sans masques avec un éloignement de moins d'un mètre (mêmes données à recueillir). Le médecin aura le choix d'assurer lui-même le recueil de ces informations ou d'en confier la tâche, en tout ou partie, à des plateformes départementales (dite de niveau 2).

Un téléservice dénommé « contact Covid » élaboré par l'Assurance Maladie et accessible via amelipro sera disponible à compter du 11 mai prochain. Il vous permettra d'enregistrer l'ensemble des informations concernant votre patient et les éventuels cas contacts que vous auriez recensés.

Bref, de l'arrachage de cheveux en perspective pour les "soignants" ...

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