Conseiller de l'OMS: La pandémie de COVID-19 a probablement commencé par une fuite de laboratoire

Un conseiller de l'OMS affirme que la pandémie de COVID-19 a probablement commencé par une fuite de laboratoire

Un an après le début de la pandémie, le conseiller de l'Organisation mondiale de la santé Jamie Metzl souhaite que la Chine dise clairement les origines du virus COVID-19. Metzl, né à Kansas City, basé à New York, qui a occupé le poste de directeur adjoint du personnel du Comité des relations étrangères sous la direction du sénateur Joe Biden (2001-2003) et avant cela au Conseil de sécurité nationale (1997-1999) et au Département d'État (1999-01) sous le président Bill Clinton), théorise qu'il s'agissait probablement d'une fuite accidentelle de laboratoire à Wuhan. "Il y a juste plus de preuves et à mesure que de plus en plus de preuves arrivent, les cas de fuite accidentelle en laboratoire, à mon avis, augmentent."

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Qu'en est-il de la théorie originale selon laquelle tout a commencé sur un marché humide à Wuhan?

C'était un mensonge. Et le gouvernement chinois a su très tôt que c'était un mensonge. Et donc face aux preuves accablantes en mai de l'année dernière, le gouvernement chinois a changé de position.

Avez-vous l'idée que des virus effrayants créés dans un laboratoire peuvent sembler un peu de science-fiction?

Cela peut sembler de la science-fiction pour les gens, mais ce qui se passe est de la science-fiction. Il existe un domaine d'étude appelé recherche sur le «gain de fonction», qui est très controversé dans lequel certains scientifiques amplifient la virilité des virus. Nous savons que l'Institut de virologie de Wuhan était impliqué dans le gain de recherche fonctionnelle sur les coronavirus de chauve-souris.

Est-ce parce que cela a spécifiquement commencé en Chine que nous ne savons toujours pas comment COVID-19 a commencé?

S'il y avait eu une épidémie au Congo ou dans un pays d'Afrique et que ce pays, dans les premiers jours de la pandémie, avait empêché les enquêteurs de l'Organisation mondiale de la santé de se rendre sur les lieux de l'épidémie, pendant près d'un mois, le monde serait devenu fou furieux. .

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