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7 août 2021

► Vaccins covid et prévention

https://static1.lequotidiendumedecin.fr/cdn/ff/rIc829yetPbezk93lf_BhHFyAPFvtnmC_1NzZQxCtAk/1564588662/public/styles/gps_large/public/public/images/769881/634720_IMG_160801_HR.jpg?itok=aaONeQnhVaccins covid et prévention.

Nos dirigeants ont décidé de nous imposer la vaccination.

Tout traitement, quel qu’il soit, peut avoir des effets secondaires. Le prescripteur le sait, le patient doit en être avisé, d’où les notices conséquentes (parfois inquiétantes, à tort). Tout manquement à cette information est passible de poursuites en responsabilité devant la survenue d’un effet grave. Ici, les laboratoires ont été déchargés de leurs responsabilités, à leur demande, n’étant pas sûrs de l’innocuité de leur produit sans en connaître les effets à long terme. L’Etat, lui, se décharge sur l’Oniam (Office National d’Indemnisation des Accidents Médicaux), c’est-à-dire les assurés sociaux, victimes potentielles, qui s’assurent eux-mêmes contre les erreurs et manquements des autres. Le ministre de la santé a tort quand il rassure les médecins sur leurs responsabilités, d’autant plus qu’actuellement, la plupart de ces effets à court terme sont connus. Même chose en cas de faute des laboratoires, c’est l’Etat qui devra indemniser en cas de vices cachés, pas l’Oniam !

Passons sur ces considérations juridiques pour revenir au médical. Devant des effets secondaires pouvant être graves, s’ils peuvent être fréquents, les bons médecins font de la prévention. Ainsi un chirurgien ou un anesthésiste vous prescrira, si besoin, des anticoagulants après intervention ou plâtre, afin d’éviter une phlébite pouvant conduire à une embolie pulmonaire pouvant être mortelle. Le cardiologue, qui prescrit des médicaments pouvant faire fuir votre potassium, compensera pour éviter des troubles du rythme pouvant être mortels.

Ici, la vaccination entraînant des troubles pouvant être graves et mortels, ces troubles étant maintenant connus pour ce qui est du court terme, que fait-on pour les minimiser ou éviter qu’ils ne se produisent ? Rien. Quelle prévention ? Aucune. Que fait-on pour rassurer ceux qui ne voulaient pas et y vont la peur au ventre ? Rien. Rien depuis que le politique a décidé de traiter à la place des médecins, qui par ailleurs ne bronchent pas. Pourquoi n’y a-t-il pas prévention des risques ? Le médecin qui ne prescrira pas d’anticoagulants pour éviter une embolie pulmonaire sera mis en faute, ici nous sommes dans le même cas de figure.

On a mis un certain temps au début pour découvrir les troubles principaux et mortels de la covid, c’est à dire non des troubles respiratoires initiaux, mais des micro thromboses, rendant les poumons peu opérants. Les « vaccins » actuels injectant indirectement la toxine du virus (la protéine spike), le principal effet secondaire est ce problème de thrombose, plus ou moins important, intéressant les plus petits vaisseaux, donc non détectable par nombre d’examens cliniques ou radiologiques. Quand les médecins demandent un dosage de D-dimères dans les suites de vaccination, ils constatent que ces thromboses sont quasi constantes. Cet examen permet de dépister une thrombose en cours (sans dire où elle se situe), et est un excellent marqueur de gravité de la covid, mais aussi des troubles vaccinaux. Les médecins qui font ce dosage après vaccination en trouvent dans presque tous les cas. Pour Charles Hoffe, nombre de symptômes post vaccinaux seraient dus à ces micro thromboses dans différents organes. Ainsi des céphalées peuvent être dues à ces thromboses, ce que confirme ce cas traité avec succès.

Alors que peut-on faire pour minimiser au maximum ce problème ? Après en avoir discuté avec plusieurs collègues pour trouver un consensus et ne pas faire n’importe quoi, je sais ce que je prendrais en cas d’obligation, je sais ce que je prescris aux membres de ma famille qui se font vacciner. Je pensais le mettre ici, mais je n’en ai pas le droit, pour des raisons ordinales mais aussi question de responsabilité. Cette responsabilité incombe aux autorités et aux vaccinateurs, pas à moi, et je trouve dommage que personne ne s’intéresse à ce problème, d’où ce billet. Il ne faut pas négliger la prévention, même si son efficacité ne peut être garantie.

Au lieu de s’occuper de votre bien-être, physique et moral en cas de vaccination, on préfère occulter ces problèmes, qui ne relèveraient que de complotistes. Je rappelle ce bon vieux dicton : « ce n’est pas en cassant le thermomètre que l’on fait baisser la température ». On a nié ces problèmes de thromboses touchant de multiples organes, puis devant leur nombre, on est maintenant bien obligé de les reconnaître. On a nié les myocardites, les péricardites, et maintenant on les reconnaît. On a nié les possibilités de maladies auto immunes, maintenant on reconnaît des Guillain-Barré. Quoi d’autres demain ? Toutes ces complications sont maintenant répertoriées, publiées par l’ANSM. Si on ne peut en prévenir certaines, les mécanismes de la plus importante étant connus, on pourrait au moins essayer.

Maintenant j’aimerais rassurer ceux qui vont se faire vacciner, car ils existent, et un bon médecin (un bon politique accessoirement) ne peut ignorer les angoisses de certains. Compte tenu du nombre de vaccinés, les manifestations graves, même si elles sont plus nombreuses que pour tout autre traitement, ne touchent pas tout le monde, et la mortalité est de 0,0037% (calculée sur les chiffres officiels de décès divisés par les 27M de vaccinés 2 doses). Toujours pour vous rassurer, un autre son de cloche, par exemple celui de la Société française de médecine vasculaire et du groupe d’étude sur l’hémostase : « Le risque de caillots sanguins est très rare,…  il n’est pas prouvé que ces évènements soient la conséquence de la vaccination ; ils peuvent être fortuits… Il n’y a pas de raison de prescrire préventivement un traitement anticoagulant pour éviter ce type de thrombose… Il n’y a pas non plus de surveillance biologique particulière à envisager. »

Et pour être incollable sur la coagulation, le Sars-Cov2 et les vaccins, ici.

Traiter est une chose, prévenir les problèmes fait partie du traitement, certains semblent l’oublier. Essayer de traiter n’est pas une faute, mais un devoir, n’en déplaise à certains donneurs de leçons.

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