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17 février 2022

Une ancienne élue LREM découvre la réalité de ses ex donneurs d'ordre

Mais au fai  qui est Agnès Cerighelli  ?  


 L'ancienne adhérente de La République en marche a déjà été sanctionnée par la justice à plusieurs reprises pour différents messages postés sur Twitter.

Une nouvelle fois en attente d'une décision de justice, elle sera fixée sur son sort le 15 avril prochain. Le 1er mars dernier, l'ex-élue des Yvelines Agnès Cerighelli a été jugée à Paris à la suite d'une procédure engagée à son encontre par le photographe Olivier Ciappa, soutenu par deux associations LGBTQ+, Mousse et Stop Homophobie.

Deux motifs étaient invoqués : la diffamation publique à raison de l'orientation sexuelle pour deux tweets des 6 et 9 juin 2019, ainsi qu'une tentative de chantage qui aurait suivi par messages privés et qui aurait visé à «obtenir la renonciation d'Olivier Ciappa à son action en justice».

«Ce couple LGBT est criminel. Il a acheté illégalement un ovocyte à l'étranger puis a loué un ventre féminin pendant 9 mois. Il a ensuite délibérément privé une petite fille de sa maman. Il se vante maintenant sur Twitter d'avoir violé la loi qui interdit la GPA. Honteux!!!» et «Il est scandaleux que l'activiste Olivier Ciappa qui a violé la loi en achetant illégalement une GPA à l'étranger et qui vit du commerce juteux de la photographie LGBT me traite de haineuse. Seul l'intérêt supérieur des enfants me guide. Ses viles accusations sont infondées», avait écrit l'ex-élue des Yvelines.

«Au début, c'est énervant, puis ça devient grotesque tant il y a un acharnement homophobe», commente auprès du Figaro Me Étienne Deshoulières, le conseil du photographe et des deux associations. «Quand Agnès Cerighelli est sur Twitter, elle tient des propos clairement homophobes, mais une fois devant la justice, elle n'assume plus ses propos...»

NDLR: Homophobes ? Elle ne fait  en fait que rappeler la LOI et dénoncer ceux qu'il s'en affranchissent ! 

Injure contre Marlène Schiappa

Agnès Cerighelli n'en est pas à son premier démêlé avec la justice. Le 25 février dernier, la 17e chambre du tribunal correctionnel de Paris a reconnu la quinquagénaire coupable d'«injure publique» et de «diffamation» envers «un membre d'un ministère», en l'occurrence Marlène Schiappa, actuelle ministre déléguée à la Citoyenneté et ancienne secrétaire d'Etat à l'Egalité entre les femmes et les hommes.

Dans des tweets datant du 23 mars, du 1er avril et du 20 avril 2019, Agnès Cerighelli avait notamment qualifié Marlène Schiappa d'«auteure de livres pornographiques», avait évoqué «les pédo-satanistes qui ont l'outrecuidance de nous gouverner» et avait estimé que «la loi Schiappa a légalisé la pédophilie en refusant d'inscrire un âge précis de consentement sexuel + un principe irréfragable de culpabilité pour tout violeur d'enfant».

NDLR: Là encore l'ex élue LREM ne fait que rappeler des faits, son interprétation lui appartenant ...

L'ancienne adhérente des Républicains puis de La République en marche, qui ne dispose aujourd'hui plus de compte Twitter à son nom, a écopé d'une amende de 500 euros avec sursis. Elle devra par ailleurs verser à la ministre déléguée une somme de 2000 euros en réparation du préjudice moral de cette dernière, ainsi que 1500 euros pour couvrir les frais de procédure. L'avocat de Marlène Schiappa, Me Éric Morain, n'a pas souhaité faire de déclarations.

Sursis, amendes et inéligibilité

En février 2020, Agnès Cerighelli a par ailleurs écopé de 4000 euros d'amende, dont la moitié avec sursis, pour des «injures à caractère homophobe» concernant deux tweets. Le 28 mars 2019, elle qualifiait les «activistes LGBT» de «lobby infâme et pervers». Le lendemain, elle comparait le drapeau arc-en-ciel à l'étoile jaune imposée aux Juifs durant la Seconde Guerre mondiale.

Enfin, le tribunal correctionnel de Paris a prononcé à son encontre une peine de deux mois de prison avec sursis et de cinq ans d'inéligibilité pour un tweet dans lequel elle s'était attaquée à Rachida Dati et à Samia Ghali, en pleine campagne pré-municipales. «Vouloir que Paris et Marseille soient dirigées par des Maghrébines de confession musulmane, c'est trahir la France, son identité et son histoire», avait-elle écrit.

NDLR: eh oui il ne fait pas bon être une opposante en Wokistan. La GAYssotine y tranche à plein régime

source. Le Figaro

 

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