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1 novembre 2011

Grèce et zone Euro: un referendum début 2012 !

01/11/2011 | 09:30 Nicolas Sarkozy consterné par le référendum grec ! Le président français Nicolas Sarkozy est consterné par la décision de la Grèce d'organiser un référendum sur l'accord européen prévoyant d'effacer une partie de la dette du pays, écrit Le Monde sur son site internet mardi, en citant une source proche de l'Elysée.  "Le geste des Grecs est irrationnel et de leur point de vue dangereux", a précisé ce proche du président.

L'Elysée n'était pas immédiatement joignable mardi pour apporter un commentaire.


 

En Grèce, le pari risqué d'un référendum. Les propos du Premier ministre grec ont créé la surprise.  Les Grecs «veulent-ils l'adoption du nouvel accord (de la zone euro sur la dette grecque, ndlr) ou le rejettent-ils ? Si les Grecs n'en veulent pas, il ne sera pas adopté», a déclaré Georges Papandréou devant le groupe parlementaire de son parti, le Pasok, lundi soir en laissant entendre que le référendum était attendu pour le début 2012. D'ici là, il va demander un vote de confiance sur ce fameux accord au Parlement, où il dispose d'une majorité qui s'est effritée à 153 députés sur 300 sièges. Ce vote devrait intervenir vendredi. Un sondage paru le week-end dernier montre qu'une majorité de Grecs jugent les décisions du sommet négatives, 12,6% seulement les jugeant positives. Beaucoup craignent une perte de souveraineté, alors que l'UE, la Banque centrale européenne et le FMI vont s'installer de façon permanente à Athènes pour vérifier l'application des mesures d'austérité
MF Global dépose le bilan. L'un des plus grands noms du courtage aux Etats-Unis, MF Global, a déposé le bilan lundi, devenant ainsi le premier gros groupe de Wall Street victime de la crise de la dette européenne.
Les valeurs bancaires européennes dévissent.  Après l'euphorie  de jeudi et une relative stabilité vendredi,  les opérateurs ont préféré prendre leurs bénéfices notamment sur les valeurs bancaires en attendant de nouvelles assurances lors du sommet du G20, jeudi et vendredi. Résultat : BNP Paribas termine à -9,63%, en Allemagne, Deutsche Bank à -8,60%, et en Italie, Intesa Sanpaolo a lâché 7,39%.
Italie et Espagne : des taux d'intérêts qui inquiètent. Vendredi, un premier avertissement était venu de Milan. Malgré l'accord européen pour tenter de juguler la crise, le coût de financement de la dette colossale de l'Italie (120% du PIB) avait encore grimpé. Les taux d'intérêt des titres à échéance 2022 avaient dépassé la barre symbolique des 6%, seuil considéré comme dangereux par les analystes.
Obama verra Sarkozy et Merkel en tête-à-tête en marge du G20.
La Chine ne prend pas d'engagement. Le président chinois Hu Jintao est «convaincu» que l'Europe pouvait «surmonter» la crise de la dette, sans toutefois prendre le moindre engagement quant au rôle que la Chine pourrait jouer dans ce délicat dossier.

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