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16 décembre 2021

L'Elysée squaté par les « trans-genre »

La sulfureuse réputation des Macron : un choix assumé ...


Un récent article de F&D ainsi que des interviews de la journaliste qui a enquêté sur le couple Macron ont enflammé le net. Le buzz n'est probablement pas prés de se tarir. Mais il convient de remarquer que les vistimes désignées sont aussi celles qui ont déclenché le scandale


Il ne s’agit ni de rumeurs ni de hasards malencontreux ! Que dès le début de sa campagne, en 2017, ait couru le brut d’une liaison de Macron avec le beau Mathieu Gallet, PDG de Radio France, n’est pas de son fait. Cependant, la suite procède de choix délibérément  affichés.

Tout commença avec sa photo officielle. Maints articles décryptèrent l’ensemble des objets mis en scène, sans jamais s’appesantir sur le fait que parmi les trois livres exposés, entre les Mémoires de De Gaulle et un livre de Stendhal, se trouvait Les nourritures terrestres de Gide. Ce livre n’était pas là par hasard, c’était un message… Seul Michel Onfray s’en émut officiellement.

PHOTO - Découvrez le portrait officiel d'Emmanuel Macron

On remarquera que ces choix ont parfatement été assumés par l'interessé , comme en témoigne un tweet de la porte parole officielle de l'époque :

André Gide est  le plus célèbre de ces auteurs se revendiquant « pédéraste ». L’auteur des Nourritures terrestres n’a pas jamais caché son goût pour les adolescents. Dans Corydon (1924), dans Si le grain ne meurt (1926), il le raconte et  le justifie. Cette attitude mit mal à l’aise ses amis, mais n’entraîna jamais de plainte judiciaire, même dans des familles dont Gide tenta avec succès, de séduire le fils. Il eut ainsi une grande histoire d’amour avec le fils du pasteur Allégret, Marc, alors qu’il avait quarante-sept ans et l’adolescent quinze. Ce ne fut pas toujours aussi idyllique : une de ses victimes, Francois Derais (un pseudonyme) publia en 1951  Envers du journal de Gide, narrant un harcèlement qui, aujourd’hui, vaudrait quelques ennuis à son auteur. Disciple d’Oscar Wilde, Gide plaidait pour des amours où le rôle de l’adulte est aussi celui d’un maître, d’un guide, d’un initiateur intellectuel, tout autant que physique…

« Gide revendiquait sa pédophilie », déclare Frank Lestringant, auteur d’un monumental André Gide l’inquiéteur (2011). Il était convaincu que la pédérastie serait reconnue et acceptée…

Les Nourritures Terrestres sont pour Macron l’un de ses ouvrages favoris, comme l’expliquait un de ses anciens camarades de classes à L’Obs  : « Il adorait Les Nourritures terrestres de Gide et Le Roi des Aulnes de Tournier ». »

https://www.lci.fr/politique/portrait-officiel-d-emmanuel-macron-a-l-elysee-quels-sont-les-trois-livres-qui-tronent-sur-le-bureau-du-president-2057094.html

Un article de Vanity Fair nous apprend que Macron lisait Gide à onze ans et Le roi des aulnes, un peu plus tard…

 Tournier obtint en 1970 le prix Goncourt pour Le Roi des aulnes, dont le contenu pédophile (« À l’opposé des fesses des adultes, paquets de viande morte, réserves adipeuses, tristes comme les bosses du chameau, les fesses des enfants vivantes, frémissantes, toujours en éveil, parfois haves et creusées, l’instant d’après souriantes et naïvement optimistes, expressives comme des visages. ») reste patent.

À sa mort, le 18 janvier 2016, Claire Devarrieux écrivait dans Libération : « Inutile de dire que le manuscrit du Roi des Aulnes atterrirait-il aujourd’hui sans nom d’auteur dans une maison d’édition, il serait aussitôt refusé pour pédophilie. »

https://www.vanityfair.fr/actualites/articles/article-magazine-destins-croises-d-emmanuel-macron-et-najat-vallaud-belkacem-par-claude-askolovitch/49523

En 2018, pour fêter la Musique, Macron invita à l’Élysée le DJ Kiddy Smile, arborant un T-shirt où était écrit « Fils d’immigré, noir et pédé », et ses danseurs transsexuels…  sans oublier ce que montre clairement la vidéo ci-dessous : pour inciter ce DJ à avancer, le salarié Manu ne le poussa pas en posant sa main dans le dos mais sur ses fesses ! Et cette nuit-là, le palais résonna de phrases élégantes, telles : « je me suis fait sucer la bite et lécher les boules », « danse enculé de ta mère », etc.

Sans parler des inoubliables photos du salarié Manu, chaviré,  dans les bras d’un dealer, torse nu, à Saint-Martin…

Tout ceci n’est pas du hasard, c’est de la communication. Si les Macron ont une réputation très sulfureuse et d’une grande vulgarité, cela ne procède que de leurs choix très assumés.

source

  

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