30 juin 2013
Lettre ouverte a un prisonnier politique de la République du Grand Orient
Cher Nicolas, Vous n’ignorez pas, je pense, pour quelle raison vous avez été sèchement embastillé par la magistrature couchée du roi Ubu : vous aviez blasphémé Sodome et défié ses hérauts, leurs pompes et leurs œuvres, leurs projets délirants, leurs poses...